En hommage à la rue où il réside, à ce nom « dévorant et enflammé » selon Jean Giono familier des lieux, Le Passeur propose avec cette
collection de courts et vigoureux brûlots, destinés à dissoudre l’hypnose collective, à susciter la colère, à révéler la sottise et les modes… ou à exalter l’enthousiasme.