Entre chroniques rieuses et carnet de route, Lost in Jérusalem offre un regard décomplexé sans être simpliste sur la ville trois fois sainte. Un récit enlevé, dans l’esprit des meilleurs blogs actuels.
Voyage / Récit de voyage
Date de parution : 28 mars 2013
14 x 20,5 cm / 256 pages
ISBN : 978-2-36890-006-2
18,90 €
Livre numérique :
ISBN : 978-2-36890-020-8
6,99 €
L'ouvrage
Prenez une jeune femme normale, parisienne, blogueuse, réalisatrice, mère de famille, amante et amie. Curieuse du monde et des autres, mais pas particulièrement calée en histoire des religions et encore moins en sciences politiques. Faites-lui une petite valise rose et lâchez-la dans Jérusalem, avec sa fille de 5 ans qui n’a ni sa langue ni son esprit d’à propos dans sa poche.
Que comprend-on de cette ville quand on n’en a pas les codes ? Quelles rencontres peut-on faire quand on se promène librement avec sa candeur en bandoulière ? Qu’apprend-on sur soi-même quand on
évolue dans le plus grand bain de spiritualité au monde ? Entre chroniques rieuses et carnet de route, Lost in Jérusalem offre un regard décomplexé sans être simpliste sur la ville trois
fois sainte.
De quoi émouvoir les amoureux de Jérusalem, passionner ceux qui envisagent de s’y rendre et donner envie aux voyageurs immobiles qui préfèrent lire pour s’évader autrement.
L'auteure
Katia Chapoutier est née en 1973. Réalisatrice pour Des racines et des ailes sur France 3, elle collabore également régulièrement à France Culture pour des documentaires radiophoniques. Curieuse incurable, c’est toujours avec un regard candide qu’elle scrute le monde qui nous entoure. Un ton qui séduit les auditeurs de Radio Canada depuis plus de 10 ans. À l’occasion des 100 ans de la Journée de la Femme, elle a publié 100 femmes inoubliables (Solar, 2010).
Vidéo auteur numéro 1 : Pourquoi Jérusalem ?
Vidéo auteur numéro 2
: On ne va pas à Jérusalem par hasard
Vidéo auteur numéro 3 : Le Dome du
rocher
Vidéo auteur numéro 4 : Le syndrome de Jérusalem
Vidéo auteur numéro 5 : Pourquoi ce livre ?
Vidéo auteur numéro 6 : garder sa candeur pour rencontrer toutes les communautés